L’isolation thermique est là pour prévenir les dégâts ! Dans le cas où tu voudrais commencer une correction d’isolation thermique efficace, tu sais que tu peux faire effectuer des travaux à une entreprise de travaux. De prime abord, voir les coûts de ces travaux d’isolation thermique est essentiel. Ensuite, on peut commencer à examiner tout le nécessaire à savoir afin de réfléchir à ton isolation thermique. Entre le type d’espace, les matières à choisir, les coûts, les obligations et les aides, tu as de multiples choses à apprendre. Bien que tu puisses réaliser des travaux sur une seule surface comme les murs ou le plafond, il est plus efficace de faire la totalité des parois pour de meilleures performances ! Pour tout comprendre au sujet des travaux, voici quelques critères cruciaux à saisir maintenant ! D’ailleurs, n’hésites pas à te renseigner aussi au sujet de l’isolation phonique car c’est un sujet semblable à ce que tu recherches avec notre article ! On commence !
1. Qu’est-ce-que l’isolation thermique ?
Tout d’abord, en plus d’isoler le bruit, l’isolation thermique permet d’amoindrir voir d’annuler complètement les déperditions de calories et les flux calorifiques. Ainsi, tu évites d’activer les chauffages en hiver , que ce soit un système au fioul, électrique ou au gaz ou même les aérateurs et ventilateurs en été. De plus, tu économises de l’énergie et donc de l’argent, tu pollue moins également. En effet, tu réduis les gaz à effet de serre à ton échelle ! D’une pierre deux coups, avec l’isolation thermique, assure le maintien des températures toute l’année au même niveau en étant écologique !
2. Isolation thermique : les matériaux
Différents matériaux d’isolation thermique permettent de réussir à préserver la température du logement de l’extérieur. En effet, on peut nommer le panneau isolant pour les murs, le panneau isolant thermique rigide, la mousse phénolique ou encore l’isolant thermique en plaque. Tout d’abord, sache que tous les matériaux peuvent être fournis sous plusieurs supports comme les panneaux, granulés, plaques, flocons, rouleaux, en vrac et en bloc de construction sous format de billes. Chaque support a sa particularité. D’autre part, il existe beaucoup de matière à utiliser.
Les isolants minéraux
Le verre cellulaire est prévu pour l’isolation thermique des toits plats, murs et fondations. Cependant, ce matériau est déconseillé pour les surfaces irrégulières. Recyclable, la matière coûte entre 10 à 50€/m2. La laine de verre est parfaite pour les toits, les combles, les plafonds, les murs et les cloisons. Disponible sous formats de panneaux, flocons et rouleaux. Elle possède les mêmes qualités que la laine de roche au prix de 3 à 8€/m2 pour 100 mm. La laine de roche est présente sous supports panneaux, flocons, rouleaux. Elle coûte entre 5 à 10€/m2 en 100 mm.
La matière est incombustible, recyclable mais peut entraîner des irritations cutanées ou respiratoires. La perlite nécessite un traitement hydrofuge, le prix est de 190€/m3. Tu peux envisager cette matière pour ton isolation calorifique. La vermiculite nécessite un traitement hydrofuge mais est incombustible. La matière coûte entre 10 et 15€/m2. Enfin, l’argile expansée en sac de 6 litres de billes coûte 5€ (15 à 20 mm). C’est surtout pour créer des chapes allégées.
Les isolants naturels
Le liège expansée coûte de 10€/m² à environ 30 €/m², en fonction de l’épaisseur et la densité La matière est résistante à la compression et à l’humidité. Fibres de bois au prix de 15 €/m² pour 100 mm d’épaisseur. Qualités de hygrorégulateur thermorégulateur mais déphasant et inflammable. Le chanvre coûte 15 €/m² pour 100 mm d’épaisseur. La matière est hygrorégulateur et thermorégulateur. Les fibres de lin au prix de 5 €/m² en 100 mm d’épaisseur. En revanche, la matière est inflammable, un traitement est nécessaire. De plus, les insectes et les moisissures sont un danger. La laine de mouton coûte de 15 à 20 €/m² en 100 mm.
C’est une matière très hygrorégulateur mais inflammable. Les plumes de canard représentent de 15 à 20 €/m² en 100 mm d’épaisseur. Utilise une protection pour la pose. La fibre de coco représente un coût de 25 à 30 €/m². Elle présente l’avantage d’être imputrescible et est résistante à l’eau et à l’humidité. Tu peux aussi opter pour les panneaux de roseaux au prix moyen de 35 à 40 €/m². Mais c’est une matière peu inflammable qui contrôle l’humidité. D’autre part, l’ouate de cellulose est hygrorégulateur et thermorégulateur. En plus d’être déphasant, tu dois porter une protection pour effectuer les travaux de pose. En général, tu as besoin de 20 €/m² en 100 mm d’épaisseur.
La laine de coton représente un investissement de 12 à 25 €/m² selon l’épaisseur. C’est un excellent hygrorégulateur. Tu as également la paille, peu chère surtout pour le vrac et en moyenne à 40 €/m3 pour les blocs de construction. En revanche c’est inflammable. Le torchis est un complément à d’autres matières au prix de 1,5 à 3 €/m². Enfin, la toiture végétale représente une dépense de 45 à 100 €/m². Ce choix assure l’étanchéité. C’est super en complément d’autres opérations d’isolation thermique.
Les isolants synthétiques
Tout d’abord, le polystyrène expansé vaut 10 €/m² pour 100 mm isolant et parement 10 mm. C’est une matière prenant le feu, tu dois mettre un parement comme le plâtre par exemple pour protéger la matière. Le polystyrène extrudé vaut bien entre 15-20 €/m² pour 100 mm d’épaisseur. C’est une bonne matière qui est insensible à l’humidité et robuste face à la pression. D’autre part, le Polyuréthane coûte 20 €/m² et ne prend pas l’humidité, est insensible à la vapeur d’eau. La mousse phénolique détient l’avantage d’être incombustible mais a le défaut d’être fragile face à l’humidité. L’isolant mince coûte de 5 à 10€/m2 et s’utilise comme complément d’isolation. C’est imperméable à la vapeur d’eau.
Les nouveaux isolants
On commence par le PIV ou les panneaux isolants sous-vide ! Cela coûte entre 40 à 60 €/m² en moyenne. Tu gagnes de l’espace car une faible quantité de cette matière suffit pour l’isolation thermique. Les aérogels nécessitent un investissement de 1800€ par kilogramme. Ensuite, la peinture isolante coûte environ 35 € le litre. Aussi, tu peux utiliser la brique monomur pour un coût de 50 €/m². C’est une très bonne matière qui est robuste face à l’écrasement, le feu, le gel et qui résiste aux rongeurs. Il existe aussi le bloc monomur de type pierre ponce au prix de 40 €/m².
C’est une matière polyvalente, résistant au feu, insectes, rongeurs, gel et à l’humidité Le bloc monomur d’argile représente un coût de 80€/m2, son incombustibilité et sa résistance face aux rongeurs et insectes en font une matière favorisée pour l’isolation calorifique. D’autre part, le béton cellulaire est un produit isolant performant avec un coût de 20 à 45 €/m² selon la taille des blocs. De plus, la matière est un bon plan pour l’isolation car il présente l’avantage d’être incombustible et ininflammable. La compression n’a pas d’effet sur le béton cellulaire. Enfin, l’air sec est traitée grâce à la vapeur relâchée après absorption de l’humidité. Le bloc bi-matières possède une grande résistance de type mécanique ainsi qu’une superbe constitution face au feu. De plus, les murs respirent plus avec le bloc bi-matières.
3. Les opérations d’isolation thermique
Tu peux opérer sur tes murs, ton sol, tes plafonds ou encore tes fenêtres. L’isolation thermique fournit de quoi passer d’agréables étés et hivers dans une température agréable.
Les murs
Tout d’abord, tu as deux possibilités pour isoler thermiquement les murs. En effet, tu peux soit faire l’isolation par l’intérieur (ITI) ou l’isolation par l’extérieur (ITE). La première option nécessite des panneaux isolants avec parements extérieurs. On peut également faire une projection de matériaux qui peuvent être à l’intérieur de coffrages. La deuxième possibilité se fait avec l’aide de bardages (on utilise une ossature pour mettre l’isolant et on fixe ce dernier au mur afin de le recouvrir de couches). On peut aussi, utiliser la méthode sous enduit, pour cela on colle l’isolant thermique pour maison sur la façade, puis on recouvre ce dernier de couches d’enduit. Enfin, la méthode sous vêture exploite des panneaux d’isolant et parements que l’on colle sur la façade extérieure du mur.
Le plafond
Tu as quatre options pour le plafond afin d’effectuer l’isolation calorifique :
En premier lieu, le suspendu et le faux-plafond : dans ces deux cas on remplit l’espace entre le plafond et le faux-plafond par un isolant mince ou plusieurs couches d’isolants plaqués au plafond. Ensuite, pour les deux cas du plafond collé et tendu : on se sert d’une couche d’isolant mince sur le plafond existant. Puis on la cache avec un revêtement esthétique ou une toile en PVC de type thermo-extensible.
Le sol
Afin de commencer l’isolation calorifique des sols, la méthode suit le type de ton plancher. En effet, sur terre-plein, on installe une dalle simple ainsi qu’un double dallage désolidarisé. Sache qu’un plancher à entrevous ou isolation périphérique s’enterre jusqu’aux fondements. D’autre part, sur vide sanitaire, on installe une dalle flottante, une dalle simple ou un plancher en béton sous le sol et au-delà du vide sanitaire. Enfin, sur sous-sol non chauffé comme un garage ou une cave, on colle des plaques d’isolant thermique au niveau du plafond du sous-sol.
La toiture
Tout d’abord, l’isolation thermique de la toiture comprend les combles perdus ou des combles aménagés. On peut isoler des combles perdus avec deux manières différentes :
Tu peux en premier lieu, souffler des isolants ou même placer des panneaux ou des rouleaux d’isolants thermiques sur le sol. Au sujet des combles aménagés, on décompte plusieurs procédés :
Premièrement, pour isoler par l’intérieur : on peut faire l’injection d’isolant sous pression en vrac ou alors l’installation de rouleaux ou de panneaux semi-rigides sous, entre les charpentes.
D’autre part, pour isoler par l’extérieur, nous pouvons poser sur la charpente des panneaux isolants protégés par des parures et des structures latérales. La méthode du « sarking » consistant à installer sur les chevrons plusieurs couches (voligeage, pare-vapeur, matériau isolant, écran de sous toiture, lattes et liteaux) est possible. Enfin, des caissons chevronnés autoporteurs avec l’isolant thermique de maison en leur sein servent de plafond pour les combles.
4. Isolation thermique : les obligations
Tout d’abord, il est nécessaire de repérer dans quels cas il est obligatoire d’effectuer l’isolation thermique.
Obligations
Premièrement le DPE ou diagnostic de performance énergétique est nécessaire afin d’effectuer une vente immobilière ou une location d’appartement, en effet, le possesseur est tenu de de réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE) pour assurer le fonctionnement de l’isolation thermique. Le dossier prend en considération la consommation d’énergie de ton logement et une classe spécifique lui est attribuée avec une nomenclature officielle, en partant de la lettre A (isolé, faible consommation) à la lettre G (peu isolée et très énergivore). D’autre part, la RT 2005 ou la réglementation thermique 2005 constitue 3 critères importants tels que la consommation d’énergie, la température intérieure durant l’été ainsi que les performances des ventilations, isolations et chauffages.
Enfin, la RT 2012 ou la réglementation thermique 2012, prévoit une certaine exigence pour les nouvelles constructions établies depuis l’année 2013. De plus, une limite est fixée au sujet de la consommation d’énergie. En effet, cette dernière ne doit pas excéder 50 kWh d’énergie par m² et par an. L’isolation thermique demande de bien se préparer.
Identifier les problèmes
Afin de commencer à analyser les problèmes potentiels, il faut que tu contactes un professionnel pour qu’il réalise un bilan thermique. Cela est tout d’abord nécessaire pour perfectionner les performances énergétiques de ta maison. Le professionnel note si ta maison est respectueuse des normes d’isolation thermique concernant la réglementation appliquée en France.
Ensuite, on identifiera les sources de déperditions de chaleur pour évaluer les vrais besoins en chauffage ainsi que la consommation de chaque année. D’autre part, il faut savoir que le bilan énergétique permet aussi de détecter les potentiels produits mauvais pour la santé. En effet, il se peut que ta chaudière soit mal paramétrée ou bien que ta poêle ne fonctionne pas bien. Ainsi, tu risquerais une intoxication au monoxyde de carbone à cause des gaz et particules relâchés dans ton environnement. De plus, l’étape suivante est de recevoir le résultat de l’étude au sujet de l’isolation thermique ainsi que les conseils pour améliorer son bien au niveau de l’isolation.
Enfin, ce fameux bilan thermique est vraiment utile afin d’identifier les ponts thermiques faisant défaut à ton logement. Ceci dans le but d’enlever ces derniers. On utilise une caméra infrarouge pour l’opération. Avec les couleurs, on repère facilement les problèmes. Ce sont les endroits en bleu, là où la chaleur s’échappe à cause d’une barrière isolante brisée ou d’une ouverture vers l’extérieur (fenêtre, porte…) mal coffrée.
Les critères à évaluer
Tout d’abord, pour calculer ton empreinte énergétique pour ton isolation des températures, ajoute (en kWh) ta consommation annuelle de fioul, de gaz et d’électricité, et divise ceci avec le nombre de mètres carrés de ton logement. La consommation énergétique en kWh/m²/an est ainsi calculée. Ensuite, selon ta région, ton département ou ta localité, la consommation d’énergie primaire de ton logement (Cep, en kWhep/m2.an) doit être en dessous d’une certaine limite.
D’autre part, la température la plus haute obtenue après une période de 5 jours d’affilée de fortes chaleurs doit figurer en dessous d’un certain seuil appelé Tic ref. Enfin, on peut aussi compter sur le coefficient de besoin bioclimatique (Bbio). Ce dernier nécessite d’être en dessous de la limite maximale encore définie en fonction de ta région. Ce critère d’isolation thermique est appelé le Bbio max.
Troisièmement, l’agence ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) fournit une description précise des pourcentages des pertes de chaleur en fonction des parties de la maison non isolées. Par exemple, tu as un taux de 25 à 30% : par le toit, 20 à 25% : par les murs, les zones de renouvellement d’air et les fuites, 10 à 15% : par les fenêtres, 7 à 10% : par les planchers bas et 5 à 10% : par les ponts thermiques au niveau du sol.